Droit de véto sur la géobiologie dans les élevages

Jeanne Brugère-Picoux

Professeur honoraire de pathologie médicale du bétail et des animaux de basse-cour (Ecole nationale vétérinaire d’Alfort), membre de l’Académie nationale de médecine, présidente honoraire de l’Académie vétérinaire de France 

En 2007, Henri Brugère dénonçait « la géobiologie, une pseudoscience en expansion »1 dans la revue « Sciences et pseudosciences » en écrivant « j’ai vu poindre la montée de la géobiologie, que j’ai prise au début comme un objet de curiosité amusée, pour arriver ensuite à la conclusion qu’elle est arrivée, maintenant, dans le peloton de tête des grandes supercheries de notre époque et qu’elle devient franchement nuisible au plan social ».

Si la géobiologie désigne parfois un champ de recherche pluridisciplinaire à l’interface des géosciences, des sciences de l’environnement et de la biologie, ce terme peut aussi désigner, au sens large, l’étude de l’impact d’un lieu et de l’environnement sur la santé humaine, animale et végétale…. Le géobiologue serait en quelque sorte le médecin d’un environnement cosmo-tellurique avec pour objectifs d’en déceler les anomalies et de rétablir une situation « normale ». Le paradoxe est que cet environnement « référentiel », même à l’état normal, n’est pas réellement connu et sa réalité n’est même pas démontrée en dehors du cercle des géobiologues. Mais cela n’effraye personne…

La géobiologie commence par établir un diagnostic de l’état de l’environnement car officiellement elle ne fait pas de médecine et ne s’occupe que de l’habitat, même si le malade est le destinataire final de son action. Le géobiologue intervient sur le terrain sur place avec un grand choix de différents dispositifs que l’on peut trouver sur internet (pendule, baguettes de sourcier, antennes de tous types et de toutes formes, connectées ou non à des dispositifs électroniques d’amplification). Mais il peut aussi éviter tout déplacement puisqu’il se donne la faculté d’établir, à partir d’un simple plan, les lignes de passage des ondes nocives. Il peut même dessiner directement (en laissant le crayon se promener sur le papier) les « points étoiles » particulièrement géopathogènes…

L’art du sourcier et la radiesthésie sont les outils de base de la géobiologie.

Un dogme intouchable : le signal du sourcier

Aucune étude n’a fourni d’éléments précisément chiffrés concernant la croyance encore très répandue du « pouvoir du sourcier », c’est à dire la capacité à trouver une source avec une baguette de coudrier grâce au signal magnétique produit par l’eau souterraine. La position d’Yves Rocard, physicien éminent qui a tenté d’expliquer ce phénomène du sourcier à travers des lois physiques, notamment en lien avec les champs magnétiques faibles, le mettait à l’abri de toute critique et l’impact de ses travaux est resté considérable. Le « signal du sourcier », tel qu’Yves Rocard l’a imaginé, a une valeur de 10 « gammas », le gamma étant une unité « pragmatique », non officielle, égale à 0,01 milligauss. En unités officielles le signal du sourcier serait donc de l’ordre de 10-8 T(tesla).

Pour Yves Rocard, les humains seraient capables de détecter des champs magnétiques aussi faibles. En réalité, les expériences qu’il décrit ont été souvent refaites en grand nombre et en double aveugle, en particulier par les étudiants du zététicien2 Henri Broch (promoteur de la pensée critique, de la méthode scientifique et de la zététique). Elles n’ont pas abouti à confirmer la magnéto sensibilité de l’Homme. Ainsi quand les sourciers ignoraient les positions des canalisations ou des sources d’eau, leurs résultats étaient équivalents à ceux obtenus par hasard. Il faut aussi noter que la mesure directe de faibles valeurs de champs magnétiques faites sur le terrain n’était pas réalisable il y a 40 à 50 ans. Il existe désormais des possibilités techniques permettant d’accéder aux domaines de l’infiniment petit magnétique. Actuellement le présumé signal du sourcier est de 10 millions de fois plus grand que l’infiniment petit détectable avec la technologie SQUID (Superconducting Quantum Interference Device) soit 10-15 T.

Moyens thérapeutiques préconisés par les géobiologues

Les moyens thérapeutiques que les géobiologues préconisent sont de deux sortes : l’évitement et les dispositifs de neutralisation et de rééquilibration.

Leur première démarche consiste à éviter les endroits géopathogènes : il faut déménager, changer de place, ou changer la configuration des lieux, déplacer les meubles…

La seconde fait appel à des dispositifs : les ré-équilibrateurs, ou neutralisateurs (« objets à caractéristiques vibratoires » captant les ondes maléfiques et d’assainissement de l’environnement, « acupuncture des sols »….). C’est comme si le fait d’avoir une antenne de télévision sur son toit empêchait tous les voisins de la recevoir chez eux ou comme si le fait de téléphoner dans la rue avec son téléphone portable empêchait les autres utilisateurs de communiquer en même temps !

Ésotérisme certes, mais quel succès !

La géobiologie est maintenant clairement individualisée comme une discipline à part entière du monde de l’élevage. Pour Henri Brugère « sans doute, une des raisons de son succès en élevage, c’est qu’elle apporte à l’éleveur une explication qui le disculpe : il n’est ni coupable de faire mal son travail ni coupable de ne pas avoir de solution, car c’est surnaturel, ça le dépasse. Le recours à l’irrationnel en santé animale n’est donc pas qu’une démarche des temps anciens. Les années passent, les pratiques évoluent, mais l’irrationnel demeure. Il évolue, car il se régénère au fur et à mesure des avancées de la science : il se nourrit de ses erreurs de parcours. Comme l’homéopathie dérive des hypothèses initiales de la médecine et de la chimie, la géobiologie dérive du magnétisme animal de Franz-Anton Mesmer (1735-1815)3.. Si la crédulité était le seul ferment qui la maintienne en vie, un rappel à la rigueur et au rationalisme pourrait ramener les esprits à la raison. Mais cette pseudo-science est exploitée maintenant par des désinformateurs professionnels qui conduisent leurs affidés vers l’obscurantisme au lieu de les éclairer. Certains éleveurs restent ainsi dans l’ornière ou vont à la ruine, ce qui paraît inacceptable en première analyse. Mais le plus étonnant est qu’une fois rentrés dans cette logique absurde, il est impossible de les faire revenir à la raison. Alors pourquoi chercher à faire prévaloir le bon sens ? Finalement chacun ne devrait-il pas assumer lui-même les conséquences de ses propres erreurs ?».

L’éleveur va chercher le géobiologue comme on recherche un homéopathe, un lithothérapeute… lorsque le vétérinaire n’a pas eu le succès attendu (voire il n’a même pas été consulté). Ainsi le géobiologue apparaîtra comme le meilleur recours : la réceptivité du client est tellement plus favorable à l’occultiste qu’au praticien ! On n’écoute bien que ce que l’on veut entendre !

Les exemples d’éleveurs, pour la plupart en grande difficulté, qui font appel au géobiologue sont légion. Ils alimentent des « affaires » dont certaines ont été traitées soit par les services de contentieux d’établissements de protection financière (assurances, bureaux spécialisés de ministères) soit ont défrayé la chronique dans le domaine judiciaire. Dans les deux cas, ces affaires, dont la majorité reste d’ordre privé, ne peuvent être narrées dans ces lignes. En revanche, d’autres ont donné lieu à des articles, y compris dans la grande presse, et peuvent être évoquées plus librement.

Le 23-24 novembre 1991, Libération4 fait état, dans sa rubrique hippisme, des problèmes urinaires d’Ourasi, le roi des trotteurs. Le géobiologue consulté diagnostique que l’animal est « bloqué par un nœud magnétique géopathogène situé sous la vessie du cheval ». La solution adoptée a consisté à poser des coquilles St-Jacques (Chlamys nobilis) en des points choisis dans le box de l’animal. Ces coquilles « oscillent à la longueur d’onde de 40 à 50 000 angströms et exercent, par leur forme et leur équilibre interne, un rôle équilibrant sur le système hypothalamo-hypophysaire…« (sic). L’animal fut guéri en 48h, « son taux vibratoire étant en corrélation avec son intensité vibratoire » (sic) et quelques jours plus tard, il gagnait son 4ème prix d’Amérique. Ce même article apporte d’autres informations, dont une qui concerne les humains : sur la nationale 6, où un nœud géopathogène était la cause fréquente d’accidents de voiture. Pour faire disparaître cette nuisance, le géobiologue a enfoncé dans la terre des tiges de fer de 1,20 m, « qui agissent sur la terre comme des aiguilles d’acupuncture » (sic), et cette intervention a réglé le problème !

Toujours à cette même époque, de 1991-1992, le Progrès de Lyon5, édition de l’Ain, publie un article concernant un éleveur bovin en grande difficulté et pour lequel aucun diagnostic n’avait été établi. Au bord de l’abîme, les géobiologues lui conseillèrent de faire appel à deux grands noms de la science française, Haroun Tazieff et Yves Rocard. Le premier répondit pour indiquer son absence de compétence sur le sujet, le second indiqua également son manque de compétence, mais il ne discuta pas l’éventualité qu’un champ tellurique puisse être en cause. Il évoqua comme improbable l’éventualité de déplacer l’étable, et suggéra, comme solution palliative, de « tourner les vaches de 90° » (sic).

Plus récemment, au cours des Journées Nationales des Groupements Techniques Vétérinaires de mai 20066, une communication a été faite pas un géobiologue, qui était intervenu dans des élevages de Porcs où sévissaient des problèmes de cannibalisme. Si l’on trouve dans la narration un certain nombre de constantes de la démarche et de la « logique » en géobiologie, on y trouve en plus la légitimation de la possibilité d’agir à distance, par la pensée, sur carte, avec le pendule. Les interventions ont consisté aussi à placer, dans les endroits géopathogènes, des « neutralisateurs », en l’occurrence des petits morceaux de métal, en forme de triangle, jouant manifestement le même rôle que les coquilles de Pétoncle. Comme dans le cas des chevaux relatés plus haut, les phénomènes pathologiques ont disparu, ce qui démontrerait le pouvoir surpuissant de la géobiologie.

Personnellement j’ai eu l’occasion d’être consultée pour deux cas cliniques touchant des élevages de vaches laitières où le géobiologue a été mieux considéré que le vétérinaire. Dans le premier cas il s’agissait d’un syndrome de dépérissement chronique lié à une acidose subclinique que nous avions observé en 2003 dans le cadre de la clinique ambulante de l’École nationale vétérinaire d’Alfort. Cet élevage de 120 vaches en production laitière avait eu à déplorer le décès de 45 vaches en deux ans. Tous les animaux boitaient car les éleveurs distribuaient une ration acidogène provoquant une fourbure. La gravité de ce cas d’élevage nous a amenée à le publier dans la Revue de Médecine vétérinaire en 20047. Lors d’une seconde visite beaucoup plus tard j’ai découvert que l’éleveur avait appelé un géobiologue qui avait découvert « une rivière souterraine » qui ne pouvait être que la cause de sa ruine…

Le deuxième cas clinique, plus récent, concernait une expertise judiciaire qui ne peut être narrée dans ces lignes et où le diagnostic aurait été très facile si l’éleveur avait appelé son vétérinaire plutôt que le géobiologue qui signalait de « fortes perturbations géobiologiques » avec des « veines d’eau et de failles » où « l’acupuncture des sols va limiter les risques » !!!

Une complexité juridique où la science doit prévaloir sur l’ésotérisme

Nous comprenons la complexité juridique de ces cas d’élevage où, lorsqu’un juge doit prendre une décision, il importe que les comptes rendus des experts témoignent d’une médecine reposant sur des preuves et non sur une pseudoscience comme la géobiologie (au même titre que l’homéopathie, la lithothérapie…).

A ce titre on doit s’inquiéter d’une décision de justice récente où les médias ne citent que la géobiologie pour la justifier. La Cour de cassation a rejeté, le 13 mars 2025, le pourvoi du Réseau de transport de l’électricité (RTE, filiale d’EDF) qui attaquait la décision du 17 octobre 2023 de la cour d’appel de Caen une affaire l’opposant à un éleveur de vaches laitières dans la Manche8. RTE est condamné à lui verser « 458 337 euros au titre du préjudice d’exploitation causé par une ligne à très haute tension » parce qu’il n’a pas été possible de « confirmer une origine infectieuse, alimentaire ou zootechnique » pour les « troubles du comportement et l’explosion des mammites chez ses vaches avec baisse de la production laitière », l’éleveur ayant « fait intervenir en 2005 un géobiologue qui a constaté la présence de courant de quelques milliampères dans la terre et dans les tubulures de la salle de traite », selon l’exposé du litige devant la cour d’appel de Caen. Une telle décision pourrait faire jurisprudence pour d’autres affaires en cours pour des troubles dans les élevages.

Une autre affaire concernant des éoliennes près d’élevages bovins où sont intervenus des géologues a été très médiatisée. En premier lieu, un rapport du Groupe permanent pour la sécurité́ électrique en milieu agricole (GPSE) considérait que ces géobiologues auraient été une aide importante, sans donner aucune précision à ce sujet et sans pouvoir exclure une interrogation sur « la transmission d’une nuisance par l’intermédiaire des failles et rivières souterraines, hypothèse cohérente avec la carte géologique des lieux »9. Réexaminant l’ensemble des données scientifiques sur cette affaire, l’Anses a rendu un avis plus argumenté en décembre 202110 concluant que « l’attribution des troubles dûs aux éoliennes est hautement improbable ». Plus précisément, « concernant la situation des deux élevages, pour les mammites, la diminution de la quantité́ et de la qualité́ du lait, les troubles de la reproduction et la mortalité́, le rapport d’expertise conclut que quel que soit l’agent physique considéré́, la chronologie des troubles est incompatible avec les périodes de construction et de mise en service du parc éolien ». Cette étude de l’Anses conclut aussi que les rapports des géobiologues « présentent des limites méthodologiques majeures : objectifs et méthodes/protocoles non présentés, confusion entre les mesures de flux magnétique et de courant induits, manque de maîtrise des notions électromagnétiques élémentaires, forte incertitude sur les mesures, liée à la qualité́ limitée des instruments de mesures, erreurs de calcul sur les chutes de tension dans la câblette ». L’Anses constate qu’«un ressenti est difficilement contestable et objectivable, car il ne résulte pas d’une démarche scientifique ». Quant aux « failles d’eau » mises en avant par ces géobiologues, l’Anses remarque que la « circulation d’eau dans cette zone est assez faible dans la roche elle-même, contrairement à des visions présentées dans certains rapports ».

La géobiologie a fait tout doucement son chemin en particulier en zone rurale

Les interventions croissantes des géobiologues souvent préconisées par les chambres d’agriculture et que nous avons pu constater lors de problèmes d’élevage démontrent qu’il est grand temps de dénoncer cette pseudoscience qui est sans doute en passe de devenir, après l’homéopathie déjà controversée dans le domaine de la santé humaine11 ou des animaux12, une arnaque. Même si ces interventions ésotériques peuvent avoir parfois un effet placebo pour le malade ou l’éleveur, elles ne reposent sur aucune preuve scientifique.

Soulignons le communiqué du conseil d’administration du 29 novembre 2024 de l’Association Française pour l’Information Scientifique (AFIS) 13 rappelant que « les services de l’État n’ont pas à promouvoir des pratiques ésotériques ». Ce texte fait suite au rapport du Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER), publié sous l’égide du ministère de l’Agriculture, rendu public en décembre 202314, qui s’est intéressé aux perturbations observées dans certains élevages situés à proximité d’équipements de production et de transport d’électricité ou d’infrastructures de télécommunications. L’AFIS s’étonne que ce rapport du CGAEEER, bien que reconnaissant que la pratique de la géobiologie soit « très contestée dans le milieu scientifique », préconise paradoxalement « d’une part que toute personne voulant revendiquer le titre de géobiologue suive un parcours de qualification reconnu par l’État reposant sur des compétences scientifiques adaptées et d’autre part que la profession continue à se structurer afin d’empêcher le charlatanisme ». Dans son résumé, ce rapport « suggère de ne pas rejeter systématiquement certaines approches du vivant comme la géobiologie ». Ce type de recommandation avait été formulé deux ans auparavant par un rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (Opecst, alors présidé par Cédric Villani) avec le même argument paradoxal : « pas scientifique mais néanmoins à structurer scientifiquement »15. La géobiologie semble ainsi jouir d’une certaine complaisance que rien ne légitime scientifiquement.

Il est aussi inquiétant que des chambres d’agriculture ou des établissements publics aient financé des formations ésotériques, en particulier la géobiologie, témoignant d’une captation de fonds publics, par l’intermédiaire de crédits à la formation professionnelle comme le souligne une enquête du journal l’Express publiée récemment16. Contacté par le journal, le ministère de l’Agriculture annonce « avoir contacté les structures de formation, de conseil et d’accompagnement pour les sommer de faire du tri » et « lancé une mission d’inspection [afin] d’identifier les formations et actions de conseil en pseudosciences » assurant « tout mettre en œuvre pour que les agriculteurs ne soient pas en proie au charlatanisme et soient correctement informés, conseillés, sur la base d’éléments scientifiquement prouvés ».

On retiendra qu’il faut mettre en garde les éleveurs contre les « charlatans ». Charlatanisme et empirisme ne sont-ils pas les plaies contre lesquels les vétérinaires (Bourgelat le disait déjà !) et les médecins luttent depuis toujours ?

La géobiologie ne serait-elle pas de la pataphysique, la « science des solutions imaginaires qui accorde symboliquement aux linéaments des propriétés des objets décrits par leur virtualité » selon la définition proposée par Alfred Jarry en 189417?


Bibliographie
[1] Brugère H, « La géobiologie, une pseudo-science en expansion », Sciences et pseudo-sciences n°277, mai 2007. https://www.afis.org/La-geobiologie-une-pseudo-science-en-expansion
[2] Personne adepte du doute philosophique et du rationalisme (https://fr.wikipedia.org/wiki/Zététique)
[3] Médecin allemand fondateur du magnétisme animal dit « mesmérisme ».
[4] Homéric . Sous les pas des chevaux, des ondes. Libération 23-24 novembre 1991
[5] Rousset A. Le mystère de Cras…Le progrès, Édition de l’Ain, circa 1991
[6] Dréau D. et Uguen J. Cas clinique de cannibalisme d’élevage résolu. Journées nationales des GTV, Dijon 17-19 Mai 2006, p. 563-567
[7] Brugère-Picoux J et al. Cas clinique d’un syndrome de dépérissement chronique lié à une acidose subclinique dans un troupeau de vaches laitières. Revue. Méd. Vét., 2004, 156, 259-363
[8] https://www.agra.fr/agra-presse/elevage-et-lignes-haute-tension-rte-condamne-face-un-eleveur-en-cour-de-cassation?utm
[9] Protocole GPSE relatif aux élevages Bouvet et EARL du Lody, Abo Wind et ERDF Rapport établi par le Pr. A Laval, le 4 avril 2016 13p.
[10] Anses. (2021). Avis relatif à l’imputabilité́ à la présence d’un champ d’éoliennes de troubles rapportés dans deux élevages bovins. (Saisine 2019-SA-0096). Maisons-Alfort: Anses, 29 p. https://www.anses.fr/fr/content/troubles-dans-deux-%C3%A9levages-bovins-le-lien-avec-les-%C3%A9oliennes-est-hautement-improbabl
[11] L’homéopathie en France : position de l’Académie nationale de médecine et de l’Académie nationale de pharmacie Communiqué de presse (2019) https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2019/03/CP-home%CC%81opathie-ANM-ANP.pdf
[12] Avis de l’Académie vétérinaire de France sur l’homéopathie vétérinaire. In: Bulletin de l’Académie Vétérinaire de France, tome 174, 2021. pp. 379-381 : https://www.persee.fr/doc/bavf_0001-4192_2021_num_174_1_14446
[13] Bâtiments et travaux publics : les services de l’État n’ont pas à promouvoir des pratiques ésotériques. Afis, publié en ligne le 30 novembre 2024.
[14] Clément T, Tremblay D, « Caractérisation de l’impact sur les activités d’élevage des antennes téléphoniques, installations électriques et éoliennes », Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux, décembre 2023.
[15] Bolo P, « L’impact des champs électromagnétiques sur la santé des animaux d’élevage », rapport de l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, 2021. Sur senat.fr
[16] Beau A, Langlois B. Quand l’État laisse pousser les pseudosciences. L’express du 20 février 2025, 56-57. https://www.lexpress.fr/economie/salon-de-lagriculture-ces-etranges-formations-esoteriques-subventionnees-par-letat-SSFSIB2VSZEG5JEPAEF5B5RYQI/?cmp_redirect=true
[17] https://www.larousse.fr/encyclopedie/litterature/pataphysique/175914